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mardi 18 décembre 2007

L'industrie du luxe se soucie peu de l'environnement


Haro sur les marques de luxe ! Dans un rapport sur la politique de développement durable des dix plus grands groupes du monde, l'association écologiste World Wild Fund (WWF) leur attribue des notes, sur une échelle allant de A (la plus élevée) à F (la plus basse). En tête, L'Oréal obtient un modeste C+, suivi de près par Hermès et LVMH. Avec un F, Bulgari et Tod's arrivent en queue de peloton.
Selon cette étude, les marques de luxe sont lentes à reconnaître leurs responsabilités et leurs possibilités d'action en matière de réchauffement climatique et de commerce éthique. Et pourtant, "de nombreux consommateurs de luxe appartiennent à une riche élite mondiale qui est de plus en plus cultivée et se préoccupe de plus en plus des questions sociales et environnementales", indique le rapport. Le classement a été réalisé à partir de données fournies par les marques à un organisme britannique, l'Ethical investment research service, et d'articles parus dans la presse.
Le WWF estime que les stars qui prêtent leur nom aux marques de luxe devraient se montrer plus attentives à leurs actions en faveur de l'environnement. Et de citer l'actrice Sienna Miller, qui milite contre le réchauffement climatique avec l'organisation Global Cool, et prête son image à Tod's, dernier du classement du WWF. Lire le rapport

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