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Etudes, analyses, statistiques et avis d'experts internationaux sur les marchés de l'environnement
et des technologies vertes, ou "greentech"

mardi 18 décembre 2007

L'industrie du luxe se soucie peu de l'environnement


Haro sur les marques de luxe ! Dans un rapport sur la politique de développement durable des dix plus grands groupes du monde, l'association écologiste World Wild Fund (WWF) leur attribue des notes, sur une échelle allant de A (la plus élevée) à F (la plus basse). En tête, L'Oréal obtient un modeste C+, suivi de près par Hermès et LVMH. Avec un F, Bulgari et Tod's arrivent en queue de peloton.
Selon cette étude, les marques de luxe sont lentes à reconnaître leurs responsabilités et leurs possibilités d'action en matière de réchauffement climatique et de commerce éthique. Et pourtant, "de nombreux consommateurs de luxe appartiennent à une riche élite mondiale qui est de plus en plus cultivée et se préoccupe de plus en plus des questions sociales et environnementales", indique le rapport. Le classement a été réalisé à partir de données fournies par les marques à un organisme britannique, l'Ethical investment research service, et d'articles parus dans la presse.
Le WWF estime que les stars qui prêtent leur nom aux marques de luxe devraient se montrer plus attentives à leurs actions en faveur de l'environnement. Et de citer l'actrice Sienna Miller, qui milite contre le réchauffement climatique avec l'organisation Global Cool, et prête son image à Tod's, dernier du classement du WWF. Lire le rapport
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lundi 10 décembre 2007

Les investissements dans les greentech en hausse de 44% -- ou bien plus

Les investissements des capital risqueurs (venture-capitalists, ouVC) dans les greentech ont augmenté de 44% au 1er semestre, dépassant 1,1 millliard de dollars contre 764 million au 1er semestre 2006. Ce secteur est l'un des moteurs de la croissance globale des investissements des VC, qui devraient atteindre 40 milliards en 2007 et afficher leur plus forte croissance depuis 2001, selon une étude de VentureOne et Ernst&Young qui porte sur les investissements en Europe, USA, Chine et Israël.
Dans les greentech, la plupart des investissements viennent d'investisseeurs américains (892,6 millions de dollars placés dans 71 entreprises, soit une hausse de 70%) . Apparemment, pas de bulle: le montant médian des investissements est de 7, 55 millions de dollars par entreprise, grosso modo comme dans les autres secteurs.
Hors des Etas-Unis, les investissements dans les greentech sont restés stables: les entreprises europénnes ont drainé 86 millions dans 19 transactions, et le Chine 121,1 millions dans seulement 4 dossiers. More
A noter que d'autres études aboutissent à des investissements dans le secteur nettement plus élevés. (Cleantech Investing post).
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jeudi 6 décembre 2007

Cartographie de la nébuleuse GreenTech


Que sont les GreenTech ? En plein boom, elles envahissent quasiment tous les aspects de l'économie. Tenter de cartographier tous les secteurs concernés et rester au courant de toutes les sociétés et secteurs qui se créent dans ce domaine est crucial pour les investisseurs et les décideurs-- c'est l'un des buts de ce blog. Voici une très intéressante cartographie interactive du secteur Greentech

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mercredi 5 décembre 2007

Réchauffement climatique : les grandes villes côtières menacées d'inondations

150 millions de personnes pourraient être exposées à des inondations côtières centennales d'ici à 2070 dans le monde contre 40 millions aujourd'hui, selon un rapport de l'OCDE ("Ranking port cities with high exposure and vulnerability to climate extremes"). L'urbanisation croissante et le réchauffement climatique sont les deux responsables de ces futures catastrophes dont l'impact financier est évalué à quelque 35 000 milliards de dollars d'ici à 2070. Dans leurs estimations, les chercheurs anticipent une élévation moyenne du niveau des océans de 0,5 mètre dans les 60 prochaines années. La ville la plus vulnérable de la planète est Calcutta, en Inde, dont la population exposée devrait être multipliée par plus de sept pour atteindre 14 milllions de personnes. Parmi les dix mégalopoles les plus menacées, Miami est la seule à être située dans un pays industrialisé. Cette étude est le première d'une série de rapports de l’OCDE consacrés aux répercussions économiques du changement climatique dans les grandes villes. Consulter le rapport
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mardi 4 décembre 2007

12% des consommateurs américains achèteraient davantage de produits high-tech "verts" -- mais la moitié ne se soucie pas du réchaufffement


Environ 12% des adultes américains se disent prêts à payer un peu plus pour acheter des produits high-tech "verts" -- qui consomment moins d'énergie ou fournis par une entreprise qui se soucie de l'environnement. Ce qui correspondrait à 25 millions de personnes, selon un sondage auprès de 5.000 Américains réalisé par le cabinet Forrester, qui y voit l'avant-garde d'une nouvelle race de consommateurs. Les consommateurs rangent pourtant souvent leurs convictions de citoyens dans leur poche quand ils passent en caisse, les distributeurs le savent bien. Forrester prédit des marques de prestige vertes: "le leadership des produits verts est ouvert: qui lancera le "Prius" de l'électronique grand public, a commenté le vice-président de Forrester Christopher Mines, en allusion à la voiture hybride de Toyota. Le gros point noir: 41% des sondés (représentant 90 millions d'Américains) se disent soucieux de l'environnement mais ne veulent pas payer plus, et surtout 47% (96 millions) disent ne pas se préoccuper du réchauffement climatique. Le résumé de l'étude de Forrester ici

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dimanche 2 décembre 2007

Les entreprises high-tech les plus écolos



Sony Ericsson distinguée par Greenpeace ! L'entreprise obtient la première place du sixième guide pour une high-tech responsable publié par l'organisation de défense de l'environnement, qui analyse les 18 plus gros fabricants mondiaux de téléphones mobiles, ordinateurs, consoles de jeux et téléviseurs. Classée en 2e position lors de la précédente édition, Sony Ericsson a amélioré son score sur la déclaration de performances de recyclage de téléphones mobiles obsolètes. Samsung arrive en 2e place. En dix-huitième position, Nintendo est le plus mauvais élève du classement avec un zéro pointé sur l'ensemble des critères (élimination des substances chimiques dangereuses, politique de recyclage...). Philips et Microsoft font à peine mieux avec respectivement 2 et 2,7 points sur les 10 du barème. Lire la suite : http://www.greenpeace.org/

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