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Etudes, analyses, statistiques et avis d'experts internationaux sur les marchés de l'environnement
et des technologies vertes, ou "greentech"

lundi 31 mars 2008

Les entreprises doivent mieux anticiper le "risque vert"

Trop vertes ou pas assez ! Ces deux écueils menacent les entreprises selon l’étude d’Ernst & Young « Strategic Business Risk ». Le cabinet conseil présente les 10 risques les plus importants pour le business en 2008 : le poids de la réglementation, la crise financière, l’inflation, le vieillissement de la population… Il place en neuvième position la stratégie des entreprises en matière d’environnement.


Ce risque présente un impact critique dans deux secteurs : les assurances et les utilities. Dans l’automobile et la production de pétrole et gaz, il est considéré comme élevé. En revanche, il ne pèse pas lourd dans les biotechs ou la gestion d’actifs (voir tableau).

Pour les experts d’Ernst & Young, le réchauffement climatique pourrait avoir des conséquences plus fortes et plus rapides que les entreprises l’anticipent sur le comportement des consommateurs et l’évolution de la réglementation. Si la plupart d’entre elles sont bien conscientes de la nécessité d’une stratégie environnementale, elles ne savent pas très bien à quel rythme évoluer.

Quelques-unes avancent peut-être trop vite, mais la plupart risque de ne pas être suffisamment « vertes » dans les prochaines années. Or, ne pas être au bon standard, en matière de mix énergétique ou d’empreinte carbone, pourrait leur coûter très cher. Exemple : des investissements immobiliers dans des bâtiments qui ne seraient pas adaptés aux normes environnementales subiraient une forte dépréciation.

Cette question est d’autant plus stratégique qu’elle doit déboucher sur des décisions importantes : acquisitions, réduction des coûts énergétiques, transfert de technologies… Pour Ernst & Young, les entreprises qui seront « carbone friendly » auront un vrai avantage compétitif. Ce qui renforcera leur capacité à attirer les jeunes talents dont elles ont besoin pour se développer.
Accéder à l'étude complète d'Ernst & Young
Lire aussi notre article sur "Les entreprises américaines passent doucement au vert"
Et celui sur "Le développement durable est bon pour le business"

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L'Europe distancée par les USA pour les investissements dans le green



Jusqu'en 2005, les VC européens et américains étaient pratiquement à égalité, et d'ailleurs tout aussi frileux à investir dans les greentech, avec guère plus de 500 millions de dollars par an. Mais depuis 2005, si l'intéret s'est accru des deux côtés de l'Atlantique, les entreprises "vertes" aux Etats-Unis ont pris brutalement plusieurs longueurs d'avance: elles ont levé plus de 4,5 milliards de dollars auprès des capitaux-risqueurs l'an dernier, contre à peine 1,5 milliard levés par les firmes européennes, indique une étude de l'INSEAD.
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7 Américains sur 10 achèteraient des produits verts... s’ils le pouvaient


Quelque 71% des Américains aimeraient acheter des produits « verts », notamment des voitures, mais n’en trouvent pas : si leur appétit était satisfait, le marché serait de 104 milliards de dollars, dont 54 milliards pour les voitures « vertes » (plus économes, hybrides, etc.), selon le calcul de l’université du Maryland qui vient de publier son sondage annuel « National Technology Readiness Survey » (NTRS), qui pour la première fois s'intersse au marché du vert.

D’ailleurs 42% trouvent que les produits qui aident l’environnement sont difficiles à trouver, 59% disent aimer essayer des nouvelles technologies « vertes », 56% qu’ils aimeraient posséder des gadgets utiles à l’environnement. Au total, selon ce sondage auprès de 1.054 adultes américains, 83% affirment vouloir protéger l’environnement.

Ils sont prêts à favoriser les entreprises qui font le pari du vert, mais avec une bonne dose de méfiance: 68% voudraient s’adresser à des entreprises respectueuses de l’environnement mais ils sont encore plus nombreux (72%) à avertir qu’ils ne pardonneront pas celles qui se prétendent éco-vertueuses, et qui mentent.

Outre les voitures, les autres produits à fort potentiel chez les consommateur sont légion, selon le sondage: les installations automatiques pour la maison capables d'être plus efficace pour éclairer, chauffer, refroidir ou ventiler, ou encore les chaffe-eau solaires, les appareils de purification de l'eau, et les ampoules plus économes, entre autres. Le chauffage solaire aurait ainsi un marché potentiel aux Etats-Unis de 20,6 milliards.


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lundi 24 mars 2008

Le développement durable est bon pour le business

Près de six entreprises françaises sur dix voient dans le développement durable une opportunité de création ou de développement d’activité.


Pour 82% d’entre elles, c'est un critère de différenciation. Ce sont les principaux enseignements d’une enquête publiée par la société de conseil Accenture et réalisée auprès d’un échantillon de 100 entreprises françaises représentatives des 1000 premières entreprises en termes de taille, revenus et secteurs d’activité.

86 % des entreprises interrogées estiment que leurs clients sont demandeurs de produits et services durables. Même si un quart seulement pensent que ses clients sont prêts à changer de fournisseurs en raison de ses pratiques environnementales ou socialement responsables. Mais l’avenir ne fait pas de doute : d’ici à 3 ans, 93% des entreprises affirment que le développement durable sera un facteur que leurs clients leur demanderont d’intégrer.

Pas étonnant que l’intérêt des investisseurs augmente. Plus de huit entreprises sur dix jugent qu’ils sont intéressés par leurs initiatives en matière de développement durable. Mais 41% estiment que ces initiatives ne sont pas encore valorisées. Là encore, la situation devrait changer : 94% sont certaines que d’ici à trois ans, les investisseurs et analystes financiers intègreront les pratiques de développement durable dans leurs évaluations.

Quels facteurs poussent les entreprises à l’action ? La réglementation arrive en tête (pour 68% des sondées), devant la réduction des coûts de consommation de matières premières (56%), le comportement éthique dans les affaires (48%), les nouvelles opportunités de business (43%) et les attentes des clients (42%).

Concrètement, que font les entreprises ? 64% ont modifié leurs modes opératoires : éco-conception, emballage, étiquetage… 41% des initiatives sont liées aux actifs matériels, notamment l’énergie, l’informatique verte et les bâtiments. Viennent ensuite la mise en conformité (30%) et la création de nouveaux produits et services (28%).

Dans leurs relations avec leurs fournisseurs, 81% prennent en compte la place accordée au développement durable. Mais dans 61% des cas, ce critère n’est toutefois pas décisif.

Pour pérenniser les actions de développement durable, 83% des entreprises ont adapté leur organisation. Une société sur deux a déployé des experts développement durable au sein de ses unités opérationnelles, une sur trois ayant préféré constituée une cellule ad hoc centralisée, rattachée le plus souvent à la direction générale.

En parallèle, la mise en place d’outils de pilotage s’accélère : 68% des sociétés disposent d’indicateurs de suivi opérationnel, par exemple sur les émissions de carbone.

Ces initiatives semblent relativement payantes : 70% des entreprises considèrent que leurs engagements liés au développement durable génèrent de la valeur financière. Petit bémol cependant : 47% jugent qu’une minorité d’initiatives seulement a un impact positif.

Accéder à l'intégralité de l'enquête d'Accenture
Lire aussi notre article sur les entreprises américaines passent au vert

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mercredi 19 mars 2008

La high-tech asiatique surperforme en écologie

Le coréen Samsung et le japonais Toshiba sont les deux premiers ex-aequo du septième palmarès de Greenpeace « Pour une high-tech responsable ».



L’ONG classe tous les trimestres les dix-huit plus gros fabricants mondiaux de téléphones mobiles, ordinateurs, consoles de jeux et téléviseurs d’après les informations mises à la disposition des consommateurs sur leurs sites internet. Plusieurs critères sont pris en compte en matière d’utilisation de substances chimiques et de politique de recyclage.

Samsung, arrivé en deuxième position dans le précédent palmarès de décembre 2007, se distingue cette fois par l’absence des substances les plus dangereuses dans ses produits. Ses nouveaux modèles d’écran LCD sont ainsi exempts de PVC. Seul bémol, Samsung limite son offre de reprise des déchets électroniques à quelques pays et catégories de produits.

Toshiba grimpe de la sixième à la première place ex aequo grâce à sa bonne prise en charge des déchets issus de ses produits. Bémol : l’offre de produits dépourvus de substances chimiques dangereuses mériterait d’être étoffée, selon Greenpeace.

Le finlandais Nokia remonte de la neuvième à la troisième marche par ses bonnes performances sur les critères chimiques.

Sony Ericsson, en tête du palmarès de décembre 2007, rétrograde à la septième position. L’entreprise perd des points sur sa politique et ses pratiques de gestion des déchets. Si elle affiche un engagement fort au principe de précaution, elle doit encore, aux yeux de Greenpeace, clarifier son soutien à la responsabilité individuelle du producteur (RIP).

Microsoft arrive en quinzième place. Le géant des logiciels s’améliore sur les critères chimiques mais reste faible pour la reprise de ses produits en fin de vie.

Dernier de la classe, comme en décembre 2007, Nintendo. En-dehors d’une amélioration de sa communication sur la gestion des substances chimiques, le fabricant de consoles de jeux écope d’un zéro pointé sur tous les autres critères.


Accéder au classement complet

Lire aussi :
L’article sur le précédent palmarès de décembre 2007
L’article sur le premier classement des produits électroniques les plus verts de Greenpeace.

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lundi 17 mars 2008

Si la finance dévisse, l'énergie verte décolle

Les énergies renouvelables ont connu un boom spectaculaire de leur chiffre d'affaires mondial en 2007: +40% pour le solaire, l'éolien, la géothermie, les biocarburants, la gestion de l'énergie, les bâtiments "verts", les voitures hybrides ou électriques, les piles à hydrogène, etc .

Selon le dernier rapport du cabinet Clean Edge, qui suit le secteur depuis 2000, le chiffre d'affaires du secteur est passé de 55 millliards de dollars en 2006 à 77,3 milliards en 2007, avec un quatuor gagnant: plus de 30 milliards pour l’éolien, plus de 20 milliards pour le solaire et plus de 25 milliars pour les biocarburants. Plus modestement, les piles à combustibles ont atteint 1,5 milliards.

La décennie qui vient sera verte: en 2017, ces quatre technologies verront leur chiffre d'affaires multiplié par trois en 2017, à 254,5 mds, selon Clean Edge.

Les nouveaux investissements du secteur (capital risque, projets publics, recherche et développement dans les entreprises) ont bondi de 56%, passant de 92,6 mds en 2006 à 148,4 mds en 2007, selon New Energy Finance.


De plus en plus de gouvernements annoncent des projets pour accroître l'énergie renouvelable, et les grandes entreprises parient elles aussi sur le secteur. Aux seuls Etats-Unis, les capitaux-risqueurs (VC) ont investi 2,7 mds dans l'énergie propre l'an dernier, soit plus de 9% de leurs investissements totaux.

La Bourse suit le mouvement: l'indice des société cotées du secteur, le NASDAQ/Clean Edge (un partenariat entre Clean Edge et le NASDAQ) a augmenté de 66.67% en 2007 contre + 3,53% pour le S&P 500 et + 9,81% pour l’indice NASDAQ.

• Biocarburants (production totale, en prix de gros pour l'éthanol et le biodiesel) ont atteint 25,4 mds en 2007 et devaient atteindre 81,1 mds d'ici 2017. En 2007 la production mondiale de biocarburants était de plus de 590 millions d’hectilitres d'éthanol et 90 millions d’hl de de biodiesel

• Eolien : les nouvelles installations, en coûts d'investissements, passeront de 30,1 milliards de dollars en 2007 à 83,4 milliards en 2017. L'an dernier la production d’énergie éolienne mondiale était de 20.000 MW, l’équivalent de 20 centrales classiques d'un GW.

• Solaire (panneaux, systèmes, installations) : les investissements passeront de 20,3 mds en 2007 à 74 mds en 2017. Les installations couvrent presque 3 GW dans le monde, multiplié par 6 en 4 ans.

• Piles à combustible : le marché bondira de 1,5 md (en contrats de recherche, prototypes, etc.) en 2007 à 16 mds dans 10 ans.

Les capitaux risqueurs américains ont investi dans les green tech 599 millions en 2000, puis 2,7 milliards de dollars en 2007, selon la firme New Energy Finance . Le secteur est passé de 0,6% des investissements totaux des VC américains à 9,1% en 2007. Entre 2006 et 2007, les investissements des VC américains dans le secteur ont augmenté de plus de 70%.


Ici le rapport complet


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Le capital-risque français séduit par les cleantech

Les acteurs français du capital-risque ont investi 63,1 millions d’euros dans les cleantech au second semestre 2007, selon l’indicateur Chausson Finance.




C’est la première fois que le secteur intègre cet indicateur, créé en 1998 par la société spécialisée dans les levées de fonds Chausson Finance. Et d’emblée, il capte 11% des investissements réalisés, dépassant les télécoms ! Il reste certes encore loin du premier secteur, la santé, qui a drainé 148 millions d’euros au second semestre 2007.

Dans le détail quinze fonds de capital-risque ont mis de l’argent dans 27 start-up. Un nombre multiplié par 4,5 en six mois. Déjà, au premier semestre 2007, près de 50 millions d’euros avaient été injectés dans les technologies liées au développement durable (énergies renouvelables, dépollution de sites…).

Plusieurs sociétés ont créé des fonds spécialisés dans les cleantech (Demeter, Oddo Private Equity, Emertec…). Mais au-delà, de nombreux fonds généralistes s’intéressent aujourd’hui au secteur.

La France reste cependant à la traîne de nombreux autres pays européens, notamment de l’Allemagne et de l’Espagne. Aux Etats-Unis également, les investissements grimpent aussi à toute vitesse, faisant craindre un risque de «bulle verte».


Voir aussi
Notre article sur le marché américain.


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samedi 15 mars 2008

Combien pour sauver la planète ?


La mise en place d’actions ciblées de protection de l’environnement coûterait un peu plus de 1% du PIB mondial d’ici à 2030, soit quelque 700 milliards de dollars.

Au lieu de croître d’environ 99%, le PIB mondial ne progresserait «que» de 97%. Soit un impact de 0,03 point de pourcentage de moins par an d’ici à 2030, selon l'OCDE.

L’impact ne serait toutefois pas le même selon les pays.

Les mesures à prendre sont connues : taxe carbone, permis à polluer négociables, développement de biocarburants de deuxième génération (produits à partir de biomasse résiduelle), quotas de pêche plus stricts assortis d’aides aux pêcheurs, redevance sur les déchets…

Que se passera-t-il si les Etats ne font rien ? L’OCDE évoque un scénario noir. Les émissions mondiales de gaz à effet de serre pourraient augmenter de 52% d’ici à 2050.
La température mondiale passerait de 1,7 à 2,4 degrés Celsius par rapport aux niveaux préindustriels, provoquant sécheresses, inondations et tempêtes. De nombreuses espèces végétales et animales disparaitraient de la planète. Et la pénurie d’eau toucherait 4 milliards de personnes en 2030.

Pour l’organisation, il « est urgent d'agir » dans quatre domaines : le changement climatique, la diminution de la biodiversité, la rareté de l'eau et l'impact de la pollution et des produits chimiques toxiques sur la santé humaine. Les actions à mettre en place doivent concerner en priorité les quatre secteurs ayant le plus fort impact sur ces domaines : l’énergie, les transports, l’agriculture et la pêche.

Energie : Les Etats doivent assurer la promotion des sources d’énergie renouvelables et l’utilisation de procédés et de sources d’énergie émettant peu de carbone, y compris des technologies de captation et de stockage du carbone. Les prix de l’énergie devraient être fixés en tenant compte du compte du coût intégral du carbone.

Autre priorité, promouvoir les mesures d’amélioration de l’efficacité énergétique des bâtiments, des transports et de la production d’électricité, en particulier dans les pays à forte croissance où les infrastructures actuellement mises en place dureront plusieurs décennies.

Transports : Pour l’OCDE, la tarification des transports devrait tenir compte du coût des atteintes à l’environnement et à la santé, par exemple par le biais de la fiscalité des carburants et de la tarification routière. Il faut aussi favoriser les efforts de R&D portant sur les nouvelles technologies de transport, comme les véhicules hybrides.

Agriculture : Pour lutter contre la pollution des ressources en eaux et de sols, l’OCDE suggère de revoir les subventions, dont certaines contribuent à accroître la pollution. Elle propose de lier les paiements à l’adoption par les agriculteurs de pratiques permettant de réduire les atteintes à l’environnement.
De même, le renforcement des taxes sur les produits agrochimiques contribue à en limiter l’usage, tandis qu’une tarification appropriée de l’eau d’irrigation favoriserait une utilisation plus rationnelle de la ressource et la récupération des coûts liés à la création des infrastructures d’irrigation.


Pêche : L’OCDE préconise une limitation du niveau des prises totales, la définition de saisons et de zones de pêche et l’élimination des subventions de nature à augmenter la capacité de pêche. Ce qui permettrait de lutter contre l’épuisement des stocks de poissons, de préserver la biodiversité et les écosystèmes et de lutter contre la pollution.



Pour aller plus loin :

La feuille de route adoptée en décembre 2007 lors de la conférence de Bali sur le changement climatique
Rapport de l’institut bruxellois Bruegel « Why Europe is not carbon competitive »
Rapports des groupes de travail du Grenelle de l’environneme
Site de la Commission européenne sur l’environnement




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lundi 10 mars 2008

Greenpeace recense les produits électroniques les plus verts


Téléphones portables, ordinateurs et autres assistants personnels sont de plus en plus écologiques.

Greenpeace vient d’analyser 37 produits électroniques fournis par leurs constructeurs (Nokia, Lenovo, Dell…). Plusieurs grands groupes (Asus, Apple, Microsoft…) n’ont pas participé à cette étude.

L’ONG a passé au crible ces produits selon trois critères: utilisation de substances chimiques dangereuses (mercure, PVC, beryllium, phtalates…), efficacité énergétique et cycle de vie/recyclage du produit.

Résultat : les industriels prennent davantage en compte la protection de l’environnement que par le passé. Toutefois aucun produit ne se distingue par des résultats exceptionnels et seuls trois d’entre eux obtiennent une note supérieure à la moyenne/

Accéder à l’intégralité de l’étude (en anglais)

et aussi :
• Greenpeace publie tous les trimestres un « Guide pour une high-tech responsable » qui évalue les performances écologiques des industriels de la high-tech. Lisez notre article sur la dernière édition.
• Depuis avril 2007, une quinzaine de grands constructeurs informatiques américains (IBM, Dell, HP…) tentent de promouvoir les bonnes pratiques en matière énergétique au sein du consortium GreenGrid
• A l’initiative d’Intel et Google, les constructeurs informatiques américains membres de l’association Climate savers computing se sont engagés à réduire de 50% la consommation énergétique de leurs produits d’ici à 2010.



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